Fondue cantonaise

Ingrédients :

  • 3 L d’eau
  • 3 cubes de bouillon de volaille ou de bœuf
  • 100 g de vermicelles de soja
  • 12 champignons noirs
  • 300 g de tofu
  • 200 g de bœuf
  • 200 g de poulet
  • 200 g d’agneau
  • 200 g de seiche
  • 200 g de filet de poisson blanc
  • 500 g de chou chinois
  • 200 g de crevettes crues
  • 1 tasse de sauce soja
  • 1 tasse de sauce d’huître
  • 1 botte de ciboule chinoise
  • huile d’arachide

Préparation :
Faites tremper les vermicelles dans de l’eau tiède pendant 20 minutes puis égoutter. Faites de même pour le champignons noirs puis couper les en tranches épaisses. Couper le tofu en cubes. Réserver le tout.

Couper la viande de bœuf, le poulet et l’agneau en fines tranches, réserver au frais.

Inciser légèrement la seiche en croisillon puis couper en deux. Couper le poisson en petit cube de 3×3 cm environ, puis réserver le tout au frais.

Décortiquer les crevettes en laissant la queue, puis faites une légère entaille sur le dos de la crevette et retirer la veine noir.

Émincer le chou chinois en fine tranche et ciselé la ciboule chinoise.

Faites chauffer l’eau à feu fort et rajouter les cubes de bouillon de volaille ou de bœuf et porter à ébullition.

Dans un casserole mettre la sauce soja puis 1 c. à soupe d’huile d’arachide, émulsionner puis incorporer la ciboule hachée et retirer du feu. Faites de même pour la sauce d’huître sauf que vous n’incorporer pas de ciboule hachée.
Transvaser 1 Litre du bouillon dans le caquelon que vous mettez sur feu moyen puis disposer les différentes assiettes contenant les vermicelles, les légumes, les viandes et les fruits de mer autour ainsi que les sauce que vous mettrez dans des bols individuels.

Servir les vermicelles dans un bol puis accompagnées les des différents mets que vous tremperez dans le bouillon frémissant et que vous plongerez dans l’une des sauces.

Astuces : si vous tranchez la viande vous-même, il faut qu’elle soit partiellement congelée pour obtenir la finesse nécessaire. Vous n’êtes pas obligé d’utiliser les 3 sortes de viandes.

Anecdotes : La fondue chinoise consiste en un bouillon placé au centre de la table, dans lequel les convives sont invités à faire cuire eux-mêmes leurs ingrédients, placés dans une petite épuisette ou tenus avec des baguette.
Les mets souvent utilisés dans les fondues chinoise sont : le poisson, crustacés ou autres coquillages, viandes en tranches très fines (blanche de préférence, voire du mouton est également utilisé), boulette de poisson ou de viande, calamar ou seiche coupée en petits morceaux, légumes (chou chinois, épinards, ciboules, champignons noirs, carottes, etc..). Pâtes chinoises de préférence des vermicelles de farine de haricot mungo. Tofu (pâte de soja fermenté) sous différentes formes. Petits raviolis variés ou aliments à base de pâte de poisson, comme le surimi spéciale fondue vendus dans les supermarchés asiatiques.

Shuan yang rou – fondue Mongole

Ingrédients :

  • 200 g de gigot d’agneau
  • 200 g de rumsteck
  • 200 g de filet de poulet
  • 200 g de crevettes roses
  • 100 g de coquille Saint-Jacques
  • 100 g de vermicelles chinois
  • 400 g de champignons noirs frais
  • 100 g d’épinards
  • 200 g tofu
  • 1 laitue
  • 1 chou chinois
  • 2 L d’eau
  • 2 cubes de bouillon de volaille
  • 4 c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à café de vinaigre de riz
  • 1 c. à café de saké
  • 1 c. à café de gingembre frais
  • 1 c. à café d’huile de sésame
  • 2 c. à café de graine de sésame
  • 1 c. à café de sucre
  • 1 c. à café de sel
  • 1 c. à café de poivre

Sauce à l’œuf :

  • 3 œuf
  • 3 c. à soupe de bouillon de volaille
  • 2 c. à café de vinaigre
  • 2 c. à café de graines de sésame

Sauce pimentée :

  • 2 c. à soupe de purée de piment
  • 2 c. à soupe de bouillon de volaille
  • 2 c. à café de gingembre hachée
  • 2 gousse d’ail

Préparation :

Couper les viandes en fines tranches. Décortiquer les crevettes puis retirer la veine noir en faisant une légère entaille sur le dos de la crevettes. Laver et nettoyer les Saint-Jacques en conservant la noix et le corail et réserver au frais

Couper les feuilles de laitue et de chou chinois en morceaux de 5 cm environ. Couper les champignons en tranches épaisses et le tofu en morceaux puis réserver.

Faites tremper les vermicelles dans de l’eau tiède pendant 20 minutes, puis égoutter et réserver.

Faites chauffer l’eau dans une casserole à feu fort, rajouter les cubes de bouillon, la sauce soja, le vinaigre de riz, le saké, le gingembre, l’huile de sésame, les graines de sésame, le sucre, le sel et le poivre puis porter à ébullition.

Dans un bol casser les œufs ajouter le vinaigre et les graines de sésame bien mélanger puis rajouter le bouillon et réserver.

Dans un autre bol mettre la purée de piment, le gingembre et l’ail bien mélanger puis rajouter le bouillon et réserver.

Transvaser le bouillon dans un caquelon chauffer sur feu moyen afin de garder le bouillon frémissant.

Disposer tous les ingrédients, viandes, vermicelles, légumes, fruits de mer et les sauces, autour du caquelon.

Servir.

Anecdotes : La fondue mongole nommé « shuan yang rou » (shuan signifie mijoter et yang rou signifie viande de mouton) est une des fondues chinoises. C’est une fondue servie en Chine du Nord et très populaire à Pékin. Comme son nom l’indique, elle contient essentiellement du mouton.
La Fondue Mongole, aussi appelé « marmite mongole » est un plat chinois importé de Mongolie, puis modifié. Il date de 1 000 ans et fut renommé sous les Quing, alors qu’il était très apprécié par la cour impériale. La fondue mongole traditionnelle utilise une espèce de mouton originaire d’Ujumgin en Mongolie intérieur. Seuls certaines parties (gigot, filet) conviennent pour la marmite mongole.
Ensuite les chinois ont ajouté des produits marins à la fondue et ont utilisé du bœuf.

Fondue thaïlandaise

Ingrédients :

  • 2 L d’eau
  • 2 cubes de bouillon de bœuf
  • 2 c. à soupe de riz gluant cru
  • 1 c. à soupe de sauce nuoc mam
  • 1 c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à soupe de purée de piment
  • 1 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel
  • 250 g de vermicelles
  • 250 g de bœuf
  • 250 g porc
  • 250 g de foie de veau
  • 250 g de chou chinois
  • 250 g de haricots verts
  • 3 cm de galanga
  • 3 feuilles de kaffir
  • 15 oignons nouveaux
  • 2 échalotes
  • 2 gousses d’ail
  • 2 blancs de tiges de citronnelle
  • 1 bouquet de basilic
  • 1 bouquet de coriandre

Préparation :
Éplucher et hacher les échalotes, l’ail et les blancs de citronnelle, mettre les trois aromates dans un bol et réserver.

Peler et hacher le galanga, couper en 4 les feuilles de kaffir et réserver.

Couper en morceaux de 5 cm les feuilles de chou chinois ainsi que les oignons nouveaux puis ciselé grossièrement la coriandre et réserver.

Couper en fines tranches la viande de bœuf, porc et foie de veau et réserver au frais.

Dans une poêle faites revenir le riz gluant cru à feu fort en remuant de temps en temps jusqu’à qu’ils deviennent brun foncé, puis broyer le riz gluant à l’aide d’un mixeur et réserver.

Dans une casserole faites chauffer l’eau à feu fort puis ajouter les cubes de bouillon de bœuf, rajouter le nuoc mam, la sauce soja, le sucre, le sel puis le riz gluant broyé et mélanger le tout.

Ajouter la racine de galanga, les feuilles de kaffir dans le bouillon puis porter à ébullition.

Transvaser le bouillon dans le caquelon que vous mettez sur feu moyen afin de maintenir le bouillon frémissant.

Disposer les assiettes contenant les vermicelles de riz, les viandes, le chou, le basilic, la coriandre, les oignons nouveaux puis le bol contenant les trois aromates autour du caquelon.

Tremper les morceaux de viandes et légumes au choix dans le bouillon, puis dans le bol contenant l’ail, l’échalote et la citronnelle ou bien dans la sauce piments.

Servir accompagnée d’une sauce au piment ou sauce soja foncé .

Astuces : vous pouvez remplacer le porc par du poulet et le foie de veau par le cœur de veau.

Lau bo – fondue vietnamienne

Ingrédients :

  • 20 cl d’eau
  • 20 cl de vinaigre de riz
  • 600 g Filet de bœuf
  • 200 g de crevettes décortiqués
  • 150 g de champignons shiitake
  • 150 g de pousses de soja
  • 1 paquet de galettes de riz
  • 1 paquet de vermicelle de riz
  • 1 boîte de lait de coco
  • 2 carottes
  • 1 boîte d’ananas
  • 2 oignons
  • 1 citron vert
  • 1 laitue
  • 10 g de ciboule chinoise
  • 10 g de persil
  • 3 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel

Préparation :

Trempez les nouilles 15 minutes dans de l’eau froide, puis égoutter et réserver. Couper en 4 morceaux les galettes de riz.
Couper la viande en fines tranches. Faites une légère entaille sur le dos de la crevette puis retirer la veine noir et réserver.
Peler les carottes et les couper en bâtonnet, ciselé le persil, couper les champignons et l’oignon en lamelles, puis en lanière de 5 cm la ciboule chinoise et les feuille de laitue en lanière de 10 cm.

Mettre les lamelles d’oignon par dessus les crevettes, le bœuf, pour parfumer ces ingrédients. Le reste d’oignon va être servi pour le bouillon.

Faire bouillir de l’eau dans une casserole, puis mettre les vermicelles à cuire pendant 2 minutes, égoutter. Disposer les vermicelles dans une assiette.

Dans une marmite à fondue, mélanger le vinaigre de riz, le sucre, le sel, le jus de coco, l’eau et le reste de l’oignon.
Goûter et ajuster en sel, sucre ou vinaigre, sachant que le bouillon doit être légèrement acide, et un peu salé. Si vous trouvez que le goût du vinaigre est trop fort, ajouter un peu d’eau.
Égoutter puis couper l’ananas en petit morceaux puis hacher grossièrement

Verser le contenu du Mam Nem dans un bol, mettre l’ananas hacher dans la sauce, rajouter le jus de citron puis mélanger. Ajuster selon vos goût.

Mettre au milieu de la table la marmite à fondu et les assiettes contenant les légumes, les crevettes, la viande et les vermicelles (la marmite à fondue doit être chauffé à feu moyen pendant le repas), également un bol d’eau chaude pour tremper les galettes de riz.

Servir dans un bol individuel la sauce mam nem et utiliser une assiette pour rouler la galette de riz.

Mettre les ingrédients que vous désirez dans la marmite à fondu et laisser cuire 5 minutes pour les crevettes, champignons et carottes mais pour la viande de bœuf, la ciboule chinoise et le vermicelle il faut seulement quelques secondes.

Prendre une galette, tremper dans le bol d’eau chaude pour la réhydrater, ensuite poser sur l’assiette, mettre un peu de vermicelles, une feuille de salade, légumes et les morceaux de viande cuites dessus.

Enrouler la galette en prenant soin de ne pas la déchirer et déguster avec la sauce mam nem.

Astuces : vous pouvez remplacer la sauce mam nem qui à un goût assez fort par la sauce nuoc mam avec un peu de gingembre frais haché. Pour les légumes vous pouvez mettre du chou chinois, du céleris, des tomates ou bien du chou fleur selon vos préférence.
Les vietnamiens gardent ce reste de bouillon pour en manger en soupe avec des vermicelles de riz, ou nouilles chinoises ou nouilles instantanées.

Pakoras de soja – beignet de soja

Ingrédients :

  • 150 g de graines de soja
  • 1 petit oignon
  • 2 gousses d’ail
  • 2 c. à café de gingembre
  • quelques feuilles de coriandre fraîche
  • 1 c. à soupe de curry en poudre
  • 1 c. à café de piment rouge en poudre
  • 2 c. à café de sel

Préparation :

Faites tremper dans un bol pendant 3 h les graines de soja puis égoutter en laissant un peu d’eau pour faciliter le mixage. Mixer grossièrement à l’aide d’un mixeur plongeant pour obtenir une pâte pas trop fine.

Hacher grossièrement l’ail, couper l’oignon en petits dés puis râper le gingembre et ciseler la coriandre.

Ajouter dans le bol contenant la pâte de soja, le sel, le curry, la coriandre, le gingembre, l’oignon, l’ail et le piment puis mélanger.

Faites chauffer l’huile dans une friteuse. Lorsque l’huile est bien chaude plonger les boules de pakoras faites à l’aide d’un cuillère à café et laisser cuire 5 minutes en les retournant de temps en temps.
Lorsque les pakoras sont bien dorées, égoutter les sur du papier absorbant.

Servir en entrée accompagné d’une sauce de coriandre ou de tamarin.

Astuces : Il est possible de faire des pakoras avec des aubergines, des courgettes, des pommes de terre et d’autres légumes.

Anecdotes : Il n’existe pas une cuisine indienne mais des cuisines indiennes, d’une grande variété. Ce n’est généralement pas dans les restaurants, mais dans les familles, que l’on peut découvrir cette diversité de cuisines. Une grande partie de la population est végétariennes par choix, par tradition, ou par obligation. On trouve donc une grande variété de recettes végétariennes utilisant en particulier les légumes secs (lentilles, pois chiches, etc) pour leur apport en protéines.

Ailes de poulet à la sauce d’huître

Ingrédients :

  • 1 kg d’ailes de poulet
  • 3 gousses d’ail
  • 3 c. à soupe de sauce d’huître
  • 3 c. à soupe de sauce soja
  • 2 c. à soupe de nuoc mam
  • 2 c. à soupe de sucre
  • 1 ½ c. à café de glutamate
  • 1 c. à café de sel

Préparation :

Hacher l’ail grossièrement.

Couper les ailes de poulet au niveau des phalanges et faites de légère entailles de chaque côté pour qu’elles puissent bien imprégnées la sauce.

Dans un bol mettre le poulet, ajouter l’ail, la sauce d’huître, la sauce soja, le nuoc mam, le sucre le glutamate et le sel, mélanger.

Laisser mariner 1 heures au minimum ou toute une nuit au frais couvert de papier cellophane.

Faites chauffer l’huile dans une friteuse à feu fort, lorsque l’huile est bien chaude plonger les ailes de poulet puis baisser le feu à moyen et cuire 10 minutes en retournant de temps en temps pour éviter que la peau du poulet ne brûle et vire au noir, car elle doit être croustillante, et obtenir une couleur brun foncé.

Lorsque les ailes de poulet sont cuitent égoutter sur du papier absorbant.

Servir avec du riz blanc accompagné d’une sauce épicée sucrée pour poulet ou bien d’une salade de carotte ou de papaye.

Astuces : vous pouvez aussi les cuire au four à 180°C pendant 20 minutes en les retournant et en surveillant bien que la peau soit de couleur brun foncé et non noir car cela veux dire qu’ils ont brûler.

Sukiyaki – fondue japonaise

Ingrédients :

  • 10 cl de saké
  • 10 cl d’eau
  • 12 cl de mirin
  • 12 cl de sauce de soja
  • 4 c. à soupe de sucre
  • 300 g de bœuf
  • 300 g de nouilles Ito Konnyaku (shirataki)
  • 2 poireaux
  • 3 œufs
  • ½ chou chinois
  • 4 champignons shiitake frais
  • 100 g de Champignons enokitake
  • 1 tofu bien ferme

Préparation :

Couper les nouilles en morceau de 10 cm environ, les faire cuire dans de l’eau jusqu’à ébullition. Égoutter et les passer sous l’eau froide puis bien les égoutter à nouveau et réserver.

Couper le bœuf en fine tranche (comme les tranches de jambon), puis en morceaux de 5 cm.

Laver, égoutter les champignon enokitake et réserver. Casser chaque œufs dans un bol individuel battre et réserver.

Couper le chou chinois en 3 morceau assez grossièrement. Couper en biais des tronçons de 2 cm de poireaux puis le tofu en tranches épaisses de 2 cm ainsi que les shiitake sans oublier de retirer le pied qui ne se mange pas.

Dans une casserole mettre l’eau, la sauce soja, le saké, le mirin et 2 c. à soupe de sucre puis mélanger jusqu’à ce que le sucre soit bien dissous et porter à ébullition puis réserver.

Dans un caquelon sur feu moyen mettre 1 c. à soupe d’huile, la viande puis 2 c. à soupe de sucre remuer puis verser la sauce, rajouter les tofu, les shiitake, les enokitake, l’oignon vert puis les nouilles et laisser porter à ébullition et c’est prêt.

Le sukiyaki se mange comme ceci : vous prenez les légumes et la viande qui sont dans le caquelon, puis vous les tremper dans l’œuf cru et il n’y a plus qu’à déguster.

Astuces : La viande est composée de très fines tranches de bœuf d’environ 2 mm. De nombreux autres ingrédients peuvent être ajoutés comme du shingiku (feuilles de chrysanthème comestible), des oignons, du chou chinois ou du tofu grillé.

Anecdotes : Le sukiyaki est un plat japonais, parfois appelé « fondue japonaise ». C’est une sorte de fondu (ou ragoût), proche du shabu-shabu, dans lequel on trempe du bœuf et des légumes crus dans une sauce warishita.

Tempura – beignet de légumes et crevettes

Ingrédients :

  • 150 g de farine
  • 1 tasse d’eau glacée
  • 1 œuf
  • 8 crevettes roses
  • 1 carotte
  • 1 courgette
  • 1 patate douce
  • 1 poivron
  • 4 chapeaux de shiitake

Préparation :
Dans un bol mettre l’œuf et battre légèrement, verser l’eau glacée, mélanger bien puis ajouter au fur et à mesure la farine en mélangeant délicatement pour éviter les grumeaux.

Couvrir et laisser reposer 1h au frais.

Décortiquer les crevettes en laissant la queue puis faites une légère entaille sur le dos de la crevette et retirer la veine noir.

Peler et couper la carotte et la courgette en deux dans le sens de la longueur puis en quatre puis en bâtonnet d’un cm.

Peler et couper la patate douce en deux puis en tranche d’un cm.

Couper le poivron en bâtonnet et en deux les chapeaux de shiitake.

Faites chauffer l’huile à feu fort. Tremper les légumes et les crevettes dans la pâte puis les plonger les en petites quantité dans l’huile et cuire 3 minutes.

Égoutter les sur du papier absorbant.

Servir.

Astuces : vous pouvez utiliser différents ingrédients comme des oignons, des aubergine ou des poissons à chair blanche (cabillaud).
Le secret d’un bon tempura est la finesse de la pâte à frire qui doit être un peu plus fluide qu’une pâte à crêpes, et surtout maintenue froide. Le bain de friture doit, au contraire, être à 180°C (on peut savoir que cette température a été atteinte en jetant une goutte de pâte à frire, laquelle doit plonger immédiatement et remonter à la surface très rapidement avec un grésillement caractéristique, sans pour autant noircir). C’est ce contraste de température qui permet une cuisson rapide et parfaite, la carapace très vite formée rendant le beignet croquant sous la dent en surface, empêchant l’huile de trop pénétrer à l’intérieur, ce qui permet de conserver la saveur et la couleur des légumes.

Anecdotes : Le tempura est généralement servi tel quel, dans une corbeille de bambou tressé ou une assiette, posé sur du papier absorbant. On saisit un morceau avec ses baguettes et on le plonge dans un ramequin individuel, contenant du radis noir râpé additionné de jus de citron (ou de vinaigre de riz) et de sauce soja.

Leche flan – bahn caramel – purin – crème au caramel

Ingrédients :

  • 1/2 tasse de sucre
  • 1/4 de tasse d’eau
  • 2 gros jaunes d’œufs
  • 3 gros œufs
  • 2 1/2 tasses de lait chaud
  • 2 c. à café d’essence de vanille

Préparation :

Mettre le sucre et l’eau dans une petite casserole.
Faire chauffer sans remuer jusqu’à ce que le mélange se caramélise et ait pris une teinte brun doré. Retirer du feu et verser immédiatement dans 6 petits moules.
Remuer les moules pour les enduire entièrement de caramel.
Dans un saladier, battre les œufs et les jaunes d’œufs jusqu’à ce qu’ils moussent.
Verser le sucre petit à petit tout en continuant à battre.
Dans une casserole faire chauffer le lait.
Verser peu à peu le lait sur les œufs sans cesser de battre.
Ajouter la vanille et passer au chinois, verser dans les moules.
Placer les moules dans un plat à four au fond duquel on a versé un peu d’eau chaude.
Mettre 35 à 45 minutes à 150 °C au four.
Lorsqu’une lame de couteau insérée au milieu du flan ressort propre, retirer du four et laisser tiédir.
Une fois froid, placer au réfrigérateur toute une nuit minimum.
Démouler après avoir décollé les bords avec une lame de couteau et servir.

Anecdotes : Dans le Philippines , flan est connu sous le nom leche flan (le terme d’origine espagnole, littéralement «le lait flan »). Leche Flan est un aliment de base dans les fêtes de célébration.Une version plus lourde de leche flan, tocino del cielo, est semblable, mais a beaucoup plus de jaunes d’œufs et le sucre.

Au Vietnam la crème caramel a été introduit par les Français. Il est connu sous le nom Bánh caramel, caramen ou kem caramel dans le nord du Vietnam ou Bánh flan ou kem tarte au sud du Vietnam. Parfois, les dessous de caramel peut être remplacé par du café noir, donnant un ton nouveau et une saveur distinctive.

Au Japon la crème caramel emballé est omniprésent dans les épicerie japonais sous le nom purin ou le pudding flan. Souvent, une étagère entière dans les épiceries est dédiée à plus d’une douzaine de marques.

Pochero – Puchero – pot au feu

Ingrédients :

  • 1 tasse de pois chiches
  • l poulet de 1,5 kg
  • 500 g de porc
  • 2 chorizos
  • 1 gros oignon émincé
  • 4 cuillères à café de sel
  • 10 gousses d’ail hachées finement
  • 1 c. à café de grains de poivre noir
  • 4 c. d’huile
  • 1 oignon moyen haché finement
  • 2 tomates mûres pelées et coupées en morceaux
  • 500 g de patates douces épluchées et coupées en morceaux
  • 1 chou chinois coupé en morceaux
  • 8 oignons nouveaux coupés en morceaux de 5 cm

Préparation :

Laver les pois chiches et les faire tremper dans l’eau toute une nuit.
Découper le poulet en morceaux.
Découper le porc en 2 .
Couper les chorizos en tranches.
Mettre tous ces ingrédients dans une cocotte minute et couvrir d’eau, ajouter l’oignon émincé, le sel, les grains de poivre et porter à ébullition.
Couvrir et laisser mijoter à feu doux pendant 20mn jusqu’à ce que les viandes et les pois chiches soit presque tendres.
Dans une autre casserole, faire dorer l’ail et l’oignon à feu doux, en remuant souvent.
Ajouter les tomates et lorsqu’elles se réduisent en purée verser le tout dans la cocote.
Ajouter les patates douces. Lorsqu’elles sont à moitié cuites, ajouter le chou chinois et les oignons nouveaux.
Laisser cuire 25 mn jusqu’à ce que les patates douces soient cuitent.
servir séparément le bouillon et les viandes entourées de légumes.

Astuces : Vous pouvez remplacer le porc par du boeuf

Anecdotes: Ce plat d’origine espagnol a été importé lors de la domination espagnole au 16ème et 17ème siècle.

Menudo – soupe au hachis de porc

Ingrédients :

  • 500 g de porc
  • 2 c. à café de graines d’annatto
  • 1 c. d’huile
  • 1 c. d’ail écrasé
  • 1 oignon haché finement
  • 2 tomates coupées en tranches
  • 3 pommes de terre coupées en dés
  • 250 g de foie de porc
  • 2 c. à café de sel
  • 1/2 c. à café de poivre noir moulu
  • 1 tasse de bouillon de viande
  • 1 citron

Préparation :

Découper le porc en petits cubes de 5×5 cm.
Faire sauter les graines d’annatto 1 minute à feu doux puis les retirer.
Faire dorer l’ ail et l’oignon dans l’huile orange, ajouter les tomates et laisser cuire jusqu’à ce qu’elles tombent en purée.
Ajouter le porc, couvrir et porter à ébullition. Laisser mijoter jusqu’à ce qu’il soit tendre.
Ajouter les pommes de terre et le bouillon s’il n’y a pas assez de liquide dans la casserole.
Découper le foie en fines lamelles. Le mettre dans la casserole lorsque les pommes de terre sont cuites. Saler, poivrer et faire reprendre l’ébullition.
Servir chaud accompagné de tranches de citron.

Astuces: Vous pouvez ajouter du piment en poudre et ajouter des chorizo.Le menudo philippin contiendra habituellement des tripes bien que des variantes incluent des pois chiches, des poivrons rouges et des raisins secs.

Anecdotes : Cette soupe est originaire du mexique ou c’est un plat traditionnel. On le considère souvent comme un traitement pour la gueule de bois, et est traditionnellement servi aux occasions spéciales ou avec la famille. Ce plat a du s’exporter suite à la conquête espagnole au 16ème 17ème siècle.

Pancit bihon – nouilles sautées

Ingrédients :

  • 1 paquet de nouilles de riz (pancit bihon)
  • 100 g de haricots verts coupés
  • 2 carottes coupés en julienne
  • 1 oignon émincé
  • 1 gousse d’ail écrasée
  • 2 c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à soupe de nuoc mam (patis)
  • 2 filets de poulet émincé
  • 1 tasses de bouillon de volaille
  • 1 jus de citron

Préparation :

Dans un grand saladier rempli d’eau tiède, faire tremper les nouilles de riz pendant 5 mn pour les ramolir.
Dans un wok, verser deux c. à soupe de huile végétale et faites chauffer à feu doux.
Faire revenir l’ail puis oignon jusqu’à ce que ce soit transparent.
Ajouter le filet de poulet et le cuire jusqu’à ce qu’il soit doré, puis assaisoner avec le nuoc mam.
Ajouter les carrottes en remuant regulierement puis les haricot vert.
Verser la moitié du bouillon, ainsi que la sauce soja.
Porter à ébullition puis ajouter les nouilles en remuant constamment jusqu’à ce qu’elles soient cuites.
Ajouter le restant de bouillon si nécessaire.
Servir avec un filet de jus de citron.

Anecdotes : Pancit ou pansit est le terme pour les nouilles dans la cuisine philippine. Les nouilles ont été introduits dans les Philippines par les Chinois et ont depuis été adoptés dans la cuisine locale.Les plats de nouilles sont également monnaie courante dans les restaurants locaux. Les établissements alimentaires spécialisés dans les nouilles sont souvent appelés panciterias.
selon la tradition alimentaire héritée de la Chine, les nouilles doivent être consommés le jour de son anniversaire. Ils sont donc souvent servi lors de fêtes d’anniversaire et les restaurants chinois aux Philippines ont souvent les « nouilles d’anniversaire  » sur ​​leurs menus. Les nouilles représentent la vie longue et la bonne santé, elles ne doivent pas être coupés courtes afin de ne pas enlever le symbolisme.