Chop Suey au poulet

Ingrédients :

  • 500 g d’escalope de poulet
  • 100 g de shiitakés déshydrater
  • 100 g de germes de soja
  • 1 carotte
  • 1 poivron rouge et vert
  • 1 gros oignon
  • 2 gousse d’ail
  • 10 feuilles de chou chinois
  • 1 petite boite de bambou en lamelle
  • 1 petite boite de jeune épis de maïs
  • 2 c. à soupe de sauce soja
  • 2 c. à soupe de sauce d’huître
  • 1 c. à soupe de sauce nuoc-mâm
  • 1 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de maïzena
  • 10 cl d’eau
  • huile, poivre

Préparation:

Hydrater les shiitakés dans de l’eau froide 1 h avant, puis bien égoutter et les couper en lanière et mettre de côté.

Laver, éplucher, couper la carotte en 2 dans le sens de la longueur puis en biais pas trop épais ni trop fin. Couper les poivrons, les feuilles de chou chinois en lanière et l’oignon en quartier, hachée grossièrement l’ail.

Égoutter les pousses de bambou et les épis de maïs, rincer les sous l’eau froide ensuite couper en 2 les épis de maïs et mettre de côté.

Laver et égoutter les germes de soja, couper en lanière l’escalope de poulet, dilué la maïzena dans un bol avec l’eau et mettre de côté.

Faites chauffer un wok légèrement huilé sur feu fort et faire revenir l’ail, ensuite ajouter le poulet, la sauce d’huître, mélanger.

Baisser à feu moyen et ajouter tous les légumes puis mélanger bien le tout, ensuite ajouter la sauce soja, la sauce nuoc-mâm, la maïzena dilué, le sucre et une pincée de poivre. Mélanger et rectifier l’assaisonnement si nécessaire.

Laisser cuire 15 minutes en remuant de temps en temps.

Servir accompagné de riz blanc.

Astuces: Vous pouvez remplacer le poulet par du bœuf, du porc, des crevettes ou tofu, et/ou ne pas mettre de viande et rajouter d’autre légumes comme du brocolis ou du bok choy, etc…. .

Anecdotes: Avec du riz à la place des nouilles, le Chop Suey est un des plats traditionnels, dont les migrants chinois ayant emporté avec eux en s’installant dans de nombreux endroits du monde. Aujourd’hui c’est également devenu un plat de la cuisine sino-américaine, sino-canadienne et plus récemment, sino-indienne.

Khao Poun – Soupe de nouille au porc et lait de coco

Ingrédients :

  • 500 g de viande de porc haché
  • 250 g de vermicelle de riz
  • 4 grosse tomates
  • 2 bâtons de citronnelle
  • 5 feuilles de salade iceberg
  • 150 g de pousses de soja
  • 1 carotte
  • 1 oignon
  • 3 feuilles de kaffir
  • 3 c. à soupe de sauce nuoc-mâm
  • 1 c. à café de pâte de curry rouge
  • 1 L de lait de coco
  • 20 cl d’eau
  • 3 c. à soupe d’huile

Préparation:

Laver, éplucher et râper la carotte, couper en fines lanière les feuille de salade, couper en 8 les tomates et mettre de côté.

Éplucher et hacher grossièrement l’oignon, hacher la partie blanche de la citronnelle et mettre de côté.

Faites cuire les vermicelles selon le mode de cuisson indiqué sur le paquet, égoutter et rincer abondamment sous l’eau froide puis mettre de côté.

Faites chauffer l’huile dans une casserole, ajouter l’oignon puis faites revenir sans les colorer, ensuite ajouter la viande de porc, mélanger et laisser cuire 5 minutes sur feu fort. Ensuite ajouter le curry, diminuer le feu et mélanger de nouveau jusqu’à dissolution du curry.

Ajouter les tomates, les feuilles de kaffir, la citronnelle puis l’eau, mélanger et laisser mijoter 5 minutes toujours sur feu moyen à couvert.

Incorporer le lait de coco, la sauce nuoc-mâm, mélanger et laisser de nouveau mijoter 25 minutes toujours à couvert.

Dans une assiette creuse placer la salade, les pousses de soja, les carottes râpées, les vermicelles puis arroser du bouillon avec la viande mais sans les feuilles de kaffir.

Servir.

Astuces: Vous pouvez remplacer le porc par des escalopes de poulet haché grossièrement, puis parsemer de fines lamelles de cœur de bananier avant de servir.

O-zoni – Soupe japonaise

Ingrédients :

  • 125 cl d’eau
  • 4 champignons shiitaké séchés
  • 2 cuisses de poulet désossée
  • 1 carotte
  • 6,5 cl de saké
  • 1 c. à café de sel
  • 1 c. à soupe de sauce de soja
  • 1 petit bouquet d’épinards
  • 4 mochis
  • 1 yuzu

Préparation:

Dans un bol faites tremper les shiitakés séchés dans 25 cl d’eau 1h avant de commencer votre plat.

Faite légèrement cuire les épinards puis égoutter les bien et mettre de côté.

Éplucher la carotte, faites des rondelles de 1 cm et taillés les en forme de fleur de cerisier et mettre de côté .

Faites bouillir de l’eau et la verser sur la cuisse de poulet que vous mettrez dans une passoire, laissant ainsi passer l’eau dans le drain, se qui supprimera le sang et les impuretés de la viande, vous aurez ainsi une soupe claire.

Mettre la cuisse dans une casserole avec 100 cl d’eau, les carottes, le saké et le sel, puis laisser mijoter pendant 20 minutes en retirant l’écume qui monte vers le haut. Puis retirer le poulet et le mettre de côté.

Ajouter la sauce de soja, ainsi que l’eau dans lequel à tremper les shiitakés au bouillon, puis ajustez le sel au goût. Trancher les shiitakés et les ajouter au bouillon.

Disposer le mochi sur du papier sulfurisé et mettez le à griller au micro-onde ou au four, jusqu’à ce qu’il gonfle et devient brun doré sur le dessus.

Pour servir, placer le mochi grillé au fond du bol, puis ajouter quelques tranches de poulet, rassemblez quelques brins d’épinards et les attacher en boucle et les mettre dans le bol.

Ajouter le bouillon avec des tranches de carottes et des shiitakés, puis décorer avec quelques zestes de yuzu et servir.

Astuces: Vous pouvez remplacer les zestes du yuzu qui est un agrume japonais par des zestes d’orange.

Anecdotes: L’O-zoni est le seul mets chaud du repas du Nouvel An Japonais, soupe comportant un morceau de Mochi, ce gâteau de riz très compact, que l’on grille au four. On en trouve une multitude de variations d’O-zoni selon les régions, mais à Tokyo, elle est préparée à base d’un bouillon clair de poulet.

Riz cantonnais

Ingrédients :

  • 3 tasses de riz blanc
  • 6 tasses d’eau
  • 10 crevettes rose crues
  • 3 œufs
  • 1 carotte
  • 1 boîte de petit pois
  • 1 boîte de maïs
  • 50 g de pousse de soja
  • 6 tiges de ciboules chinoises
  • 125 g de porc laqué prêt ou 4 saucisses chinoises
  • 2 c. à soupe de sauce soja claire
  • 1 c. à café de sel
  • huile

Préparation :

Laver 3 à 4 fois le riz et le faire cuire dans un rice-cooker en mettant pour les 3 tasses de riz 6 tasses d’eau.

Égoutter puis rincer le maïs et les petits pois ainsi que les pousse de soja. Ciseler les tiges de ciboules chinoises.

Peler et laver la carotte puis couper en petit dés ainsi que le porc laqué, si vous prenez des saucisses chinoises faites les d’abords cuire 15 minutes dans de l’eau bouillantes, bien les sécher puis les couper en petit dés. Puis réserver.

Décortiquer les crevettes puis faite une légère entaille sur le dos de la crevette et retirer la veine noir.

Casser les œufs puis les battre pour en faire une omelette.

Chauffer le wok à feu fort, mettre l’huile puis verser l’œuf et bien étaler pour qu’il puisse cuire plus rapidement, ensuite le couper en morceaux et le mettre dans un plat puis réserver.

Rajouter un peu d’huile dans le wok et y ajouter les crevettes les faire revenir jusqu’à ce qu’elles changent de couleur, puis rajouter les carottes, les petits pois, le maïs, le porc laqué ou les saucisses chinoises et enfin les pousse de soja. Laisser cuire 2 à 3 minute en remuant de temps en temps.

Rajouter le riz, les morceaux d’omelette, les ciboules chinoises et la sauce de soja puis mélanger pour que tous soit bien homogène et saler.

Astuces : Pour le riz cantonnais vous pouvez utiliser le riz cuit restant de la veille et différentes ingrédients comme du poulet, du bœuf ou du canard, des champignons, des oignons.

Anecdotes : Le riz cantonnais appelé riz frit en Chine, est un plat très populaire dans le monde chinois, car il est savoureux et nourrissant et pouvant être économique ou raffiné selon le choix des ingrédients.

Lumpia – nems des phillipines

Ingrédients :

  • 1 c. à soupe d’huile végétale
  • 500 g de porc haché
  • 2 gousses d’ail écrasées
  • 1/2 tasse d’oignon haché
  • 1/2 tasse de carottes hachées
  • 1/2 tasse d’oignons verts hachés
  • 1/2 tasse de chou vert coupé en fines tranches
  • 1 c. à café de poivre noir
  • 1 c. à café de sel
  • 1 c. à thé de poudre d’ail
  • 1 c. à café de sauce de soja
  • 30 feuilles à raviolis chinois (10 x 10 cm ~)
  • 2 tasses d’huile végétale pour la friture

Préparation :

Dans un wok sur feu vif, verser 1 c. à soupe d’huile végétale et Cuire la viande de porc haché, en remuant fréquemment, jusqu’à ce qu’il ne soit plus rose et réserver.
Faire cuire l’ail et l’oignon dans la même poêle pendant 2 minutes. Puis ajouter la viande de porc cuite, les carottes, les oignons verts et le chou. Assaisonner de poivre, de sel, de poudre d’ail et de sauce de soja. Retirer du feu et réserver. Laisser refroidir à température ambiante.
Prendre une feuille à raviolis et placer 3 cuillères à soupe de farce en diagonale près d’un coin de chaque enveloppe, laisser 1 cm entre le coin et la farce des 2 cotés. Replier les coins sur la farce et rouler le lumpia en le gardant bien serré. Humecter le côté de l’emballage avec de l’eau pour sceller les bords. Couvrez les rouleaux de film plastique pour conserver l’humidité.
Dans une friteuse ou dans une poêle assez profonde remplis d’huile Faire frire les rouleaux de 1 à 2 minutes, jusqu’à ce qu’il soient dorés. Égoutter sur du papier absorbant.
Servir immédiatement accompagné de sauce.

Astuces : Il faut que les feuilles de raviolis soient des feuilles à la farine de blé comme pour les briques. A défaut prendre des feuilles de brique et les couper en carrés.

Anecdotes : Le lumpia est la forme indonésienne et philippine du nem, du pâté impérial ou du rouleau de printemps. Le mot lunpia vient de la langue hokkien. Ce mets, frais ou frit, a été apporté par des immigrants originaires de la province du Fujian dans le sud de la Chine, qui constituent la majorité des Chinois d’Indonésie et des Philippines.
Aux Pays-Bas et en Flandres, son nom est loempia, ancienne prononciation indonésienne de lumpia, qui est devenue le nom générique pour les rouleaux de printemps en néerlandais.

Nouille de soja au saumon et julienne de légumes

Ingrédients :

  • 200 g de nouilles de soja japonaise
  • 200 g de saumon
  • 50 g de germes de soja
  • 1/2 chou blanc
  • 1 carotte
  • 7 cl de sauce soja
  • 3 c. à soupe d’huile de sésame

Préparation :

Faites cuire les nouilles selon le mode d’emploi indiqué sur le paquet. Égoutter puis passer sous l’eau froide et réserver.

Peler et couper en julienne les carottes puis le chou en lamelles et mettre de côté.

Couper le saumon en cubes et mettre de côté.

Faites chauffer un wok sur feu fort, mettez l’huile de sésame, les germes de soja, les légumes et le saumon et faites revenir en mélangeant délicatement pour ne pas casser le saumon.

Ajouter la sauce soja et les nouilles et laisser cuire 3 minutes en remuant de temps en temps.

Servir.

Astuces : vous pouvez remplacer le saumon par du bœuf et rajouter d’autres légumes aux choix.

Bun Cha – grillade de boulette et poitrine de porc


Ingrédients :

  • 300 g de porc haché
  • 500 g de tranches de poitrine de porc
  • 400 g de vermicelle de riz
  • 200 g de papaye verte
  • 1 laitue
  • 1 gousses d’ail
  • 1 piment rouge
  • 1 carotte
  • 1 oignon
  • 1 botte de coriandre
  • 1 botte de menthe
  • 1 botte de basilic thaï
  • sauce nuoc mam
  • vinaigre de riz
  • sucre
  • sel
  • poivre
  • eau

Sauce :

  • 6 c. à soupe de nuoc mam
  • 6 c. à soupe de vinaigre de riz
  • 3 c. à soupe de sucre
  • 18 cl d’eau
  • 1 gousse d’ail

Préparation :

Hachée l’oignon, l’ail et le piment rouge, mettre dans des différents bols, puis laver et effeuiller la laitue et couper la en morceau de 5 cm environ et réserver.

Couper les tranches de poitrine de porc en morceaux de 5 cm environ.

Dans un bol mettre 1 c. à soupe de sauce nuoc mam, 1 c. à soupe de sucre, ½ c. à café de sel, ½ c. à café de poivre et la moitié de l’oignon haché, mélanger bien pour que le sucre soit bien dissous puis rajouter les tranches de poitrine de porc et laisser mariner 2h au frais.

Dans un autre bol mettre le reste d’oignon, 1 c. à soupe de sucre, 1 c. à soupe de nuoc mam, ½ c. à café de sel, ½ c. à café de poivre, mélanger bien pour que le sucre soit bien dissous puis rajouter la viande de porc haché mélanger de nouveau et laisser mariner 2h au frais.

Préparer la sauce en mettant dans un bol, le nuoc mam, le vinaigre de riz, le sucre, l’eau et l’ail puis bien mélanger pour bien dissoudre le sucre et réserver au frais.

Peler la papaye et la carotte, râpé la papaye et faites des fines tranches de rondelles de carottes puis les mettre dans un bol et rajouter 50 cl d’eau et 10 c. à soupe de vinaigre de riz et laisser mariner au frais.

Préparer les vermicelles selon le mode de cuisson indiquer sur le paquet puis réserver.

Façonner des boulettes de viande haché de même taille puis aplatissez les légèrement pour avoir une cuisson bien homogène.

Préparer le barbecue puis disposer les tranches de poitrines de porc et les boulettes et cuire 10 minutes de chaque côté.

Présenter dans un grand saladier les feuilles de laitue, la coriandre et la menthe ainsi que les vermicelles.

Disposer les assiette contenant les boulettes, les tranches de poitrine de porc ainsi que les légumes marinés puis les bols individuels contenant la sauce.

Mettre dans le bol de sauce individuel, un peu de vermicelle, les légume mariné, la coriandre, la menthe et la laitue ensuite rajouter la viande au choix et déguster.

Astuces : si vous ne trouver pas de papaye vert, vous pouvez utiliser un chouchou (appeler aussi chayotte ou christophine), du chou rave ou du concombre couper en juliennes. Vous pouvez aussi le cuire au four, préchauffer le four à 180°C et cuire pendant 10 minutes (5 minutes de chaque côté) pour les personnes qui vivent en appartement.

Anecdotes : C’est un plat emblématique du Vietnam du Nord qui égale le fameux « Pho »,il est très apprécier des vietnamiens vivant à Hanoï. On peut le déguster dans des petite échoppes à même le trottoir.

Riz au curry

Ingrédients :

  • 500 g de rumsteck
  • 1 oignon
  • 2 carottes
  • 3 pommes de terre
  • 1 paquet de curry japonais (150 g)
  • 600 ml d’eau
  • 1 c. à café de poudre de curry
  • 1 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel
  • 1 c. à café de poivre

Préparation :

Couper en cube les rumsteck et réserver.

Couper en morceaux d’un cm l’oignon, ensuite peler et couper les pommes de terre en morceaux d’un cm et les carotte en deux dans le sens de la longueur puis en morceaux pas trop épais pour que la cuisson soit moins longue et réserver.

Dans un bol mettre les morceaux de viande, le curry , sucre, sel et poivre puis bien mélanger à la main et réserver.

Faite chauffer une poêle légèrement huilé sur feu fort et faire pré cuire la viande en remuant de temps en temps pendant 5 minutes, puis transvaser dans une assiette et réserver.

Dans la même casserole mettre 1 c. à soupe d’huile, l’oignon et les carottes puis laisser cuire 10 minute sur feu doux à moyen pour qu’elles ne brûlent pas et remuer de temps en temps. Ensuite rajouter les morceaux de pommes de terre et verser l’eau (les légumes doivent être recouvert) puis porter à ébullition sur feu fort.

Retirer le plus d’écumes possible, puis baisser sur feu moyen, couvrir et laisser cuire 10 minutes (vérifier de temps en temps car les pommes de terre doivent être mi cuite, pour éviter qu’elles ne se cassent lorsque vous rajouterez les cubes de curry).

Couper les morceaux de cube de curry en petites tranches puis les rajouter dans la casserole et mélanger délicatement pour qu’elles fondent bien, ensuite passer sur feu fort et reporter à ébullition.

Lorsque sa bouille, passer sur feu doux puis rajouter la viande, mélanger délicatement et laisser cuire à couvert pendant 10 minutes environ (vérifier la cuisson des légumes), la sauce curry doit être épaisse.

Goûter et ajuster si vous trouver qu’il manque un peu de sel.

Retirer du feu et servir bien chaud avec du riz blanc.

Astuces : vous pouvez très bien utiliser du porc ou du poulet pour ce plat et aussi rajouter des pommes et même du miel si vous préférez un curry au goût un peu sucré.

Anecdotes : Le riz au curry est l’un des plats les plus populaires au Japon, car c’est un plat simple et rapide à préparer par rapport au autres plat japonais. On a l’habitude de le servir sous trois formes principales: le riz au curry (karéraisu), les nouilles au curry (karé udon) et le pain fourré au curry (karé-pan). Il est habituellement plus épais et à un goût plus doux et moins épicé que le curry indien.

Lau bo – fondue vietnamienne

Ingrédients :

  • 20 cl d’eau
  • 20 cl de vinaigre de riz
  • 600 g Filet de bœuf
  • 200 g de crevettes décortiqués
  • 150 g de champignons shiitake
  • 150 g de pousses de soja
  • 1 paquet de galettes de riz
  • 1 paquet de vermicelle de riz
  • 1 boîte de lait de coco
  • 2 carottes
  • 1 boîte d’ananas
  • 2 oignons
  • 1 citron vert
  • 1 laitue
  • 10 g de ciboule chinoise
  • 10 g de persil
  • 3 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel

Préparation :

Trempez les nouilles 15 minutes dans de l’eau froide, puis égoutter et réserver. Couper en 4 morceaux les galettes de riz.
Couper la viande en fines tranches. Faites une légère entaille sur le dos de la crevette puis retirer la veine noir et réserver.
Peler les carottes et les couper en bâtonnet, ciselé le persil, couper les champignons et l’oignon en lamelles, puis en lanière de 5 cm la ciboule chinoise et les feuille de laitue en lanière de 10 cm.

Mettre les lamelles d’oignon par dessus les crevettes, le bœuf, pour parfumer ces ingrédients. Le reste d’oignon va être servi pour le bouillon.

Faire bouillir de l’eau dans une casserole, puis mettre les vermicelles à cuire pendant 2 minutes, égoutter. Disposer les vermicelles dans une assiette.

Dans une marmite à fondue, mélanger le vinaigre de riz, le sucre, le sel, le jus de coco, l’eau et le reste de l’oignon.
Goûter et ajuster en sel, sucre ou vinaigre, sachant que le bouillon doit être légèrement acide, et un peu salé. Si vous trouvez que le goût du vinaigre est trop fort, ajouter un peu d’eau.
Égoutter puis couper l’ananas en petit morceaux puis hacher grossièrement

Verser le contenu du Mam Nem dans un bol, mettre l’ananas hacher dans la sauce, rajouter le jus de citron puis mélanger. Ajuster selon vos goût.

Mettre au milieu de la table la marmite à fondu et les assiettes contenant les légumes, les crevettes, la viande et les vermicelles (la marmite à fondue doit être chauffé à feu moyen pendant le repas), également un bol d’eau chaude pour tremper les galettes de riz.

Servir dans un bol individuel la sauce mam nem et utiliser une assiette pour rouler la galette de riz.

Mettre les ingrédients que vous désirez dans la marmite à fondu et laisser cuire 5 minutes pour les crevettes, champignons et carottes mais pour la viande de bœuf, la ciboule chinoise et le vermicelle il faut seulement quelques secondes.

Prendre une galette, tremper dans le bol d’eau chaude pour la réhydrater, ensuite poser sur l’assiette, mettre un peu de vermicelles, une feuille de salade, légumes et les morceaux de viande cuites dessus.

Enrouler la galette en prenant soin de ne pas la déchirer et déguster avec la sauce mam nem.

Astuces : vous pouvez remplacer la sauce mam nem qui à un goût assez fort par la sauce nuoc mam avec un peu de gingembre frais haché. Pour les légumes vous pouvez mettre du chou chinois, du céleris, des tomates ou bien du chou fleur selon vos préférence.
Les vietnamiens gardent ce reste de bouillon pour en manger en soupe avec des vermicelles de riz, ou nouilles chinoises ou nouilles instantanées.

Tempura – beignet de légumes et crevettes

Ingrédients :

  • 150 g de farine
  • 1 tasse d’eau glacée
  • 1 œuf
  • 8 crevettes roses
  • 1 carotte
  • 1 courgette
  • 1 patate douce
  • 1 poivron
  • 4 chapeaux de shiitake

Préparation :
Dans un bol mettre l’œuf et battre légèrement, verser l’eau glacée, mélanger bien puis ajouter au fur et à mesure la farine en mélangeant délicatement pour éviter les grumeaux.

Couvrir et laisser reposer 1h au frais.

Décortiquer les crevettes en laissant la queue puis faites une légère entaille sur le dos de la crevette et retirer la veine noir.

Peler et couper la carotte et la courgette en deux dans le sens de la longueur puis en quatre puis en bâtonnet d’un cm.

Peler et couper la patate douce en deux puis en tranche d’un cm.

Couper le poivron en bâtonnet et en deux les chapeaux de shiitake.

Faites chauffer l’huile à feu fort. Tremper les légumes et les crevettes dans la pâte puis les plonger les en petites quantité dans l’huile et cuire 3 minutes.

Égoutter les sur du papier absorbant.

Servir.

Astuces : vous pouvez utiliser différents ingrédients comme des oignons, des aubergine ou des poissons à chair blanche (cabillaud).
Le secret d’un bon tempura est la finesse de la pâte à frire qui doit être un peu plus fluide qu’une pâte à crêpes, et surtout maintenue froide. Le bain de friture doit, au contraire, être à 180°C (on peut savoir que cette température a été atteinte en jetant une goutte de pâte à frire, laquelle doit plonger immédiatement et remonter à la surface très rapidement avec un grésillement caractéristique, sans pour autant noircir). C’est ce contraste de température qui permet une cuisson rapide et parfaite, la carapace très vite formée rendant le beignet croquant sous la dent en surface, empêchant l’huile de trop pénétrer à l’intérieur, ce qui permet de conserver la saveur et la couleur des légumes.

Anecdotes : Le tempura est généralement servi tel quel, dans une corbeille de bambou tressé ou une assiette, posé sur du papier absorbant. On saisit un morceau avec ses baguettes et on le plonge dans un ramequin individuel, contenant du radis noir râpé additionné de jus de citron (ou de vinaigre de riz) et de sauce soja.

Pancit bihon – nouilles sautées

Ingrédients :

  • 1 paquet de nouilles de riz (pancit bihon)
  • 100 g de haricots verts coupés
  • 2 carottes coupés en julienne
  • 1 oignon émincé
  • 1 gousse d’ail écrasée
  • 2 c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à soupe de nuoc mam (patis)
  • 2 filets de poulet émincé
  • 1 tasses de bouillon de volaille
  • 1 jus de citron

Préparation :

Dans un grand saladier rempli d’eau tiède, faire tremper les nouilles de riz pendant 5 mn pour les ramolir.
Dans un wok, verser deux c. à soupe de huile végétale et faites chauffer à feu doux.
Faire revenir l’ail puis oignon jusqu’à ce que ce soit transparent.
Ajouter le filet de poulet et le cuire jusqu’à ce qu’il soit doré, puis assaisoner avec le nuoc mam.
Ajouter les carrottes en remuant regulierement puis les haricot vert.
Verser la moitié du bouillon, ainsi que la sauce soja.
Porter à ébullition puis ajouter les nouilles en remuant constamment jusqu’à ce qu’elles soient cuites.
Ajouter le restant de bouillon si nécessaire.
Servir avec un filet de jus de citron.

Anecdotes : Pancit ou pansit est le terme pour les nouilles dans la cuisine philippine. Les nouilles ont été introduits dans les Philippines par les Chinois et ont depuis été adoptés dans la cuisine locale.Les plats de nouilles sont également monnaie courante dans les restaurants locaux. Les établissements alimentaires spécialisés dans les nouilles sont souvent appelés panciterias.
selon la tradition alimentaire héritée de la Chine, les nouilles doivent être consommés le jour de son anniversaire. Ils sont donc souvent servi lors de fêtes d’anniversaire et les restaurants chinois aux Philippines ont souvent les « nouilles d’anniversaire  » sur ​​leurs menus. Les nouilles représentent la vie longue et la bonne santé, elles ne doivent pas être coupés courtes afin de ne pas enlever le symbolisme.

Sauce pour les nems

Ingrédients :

  • 2 c. à soupe de nuoc-mam
  • 8 c. à soupe d’eau
  • 2 c. à soupe de vinaigre de riz ou de vinaigre blanc
  • 2 c. à café de sucre en poudre
  • 1 petit piment rouge
  • quelques brins de carottes râpées

Préparation :
Mélangez la sauce nuoc-mam, l’eau, le vinaigre et le sucre dans un bol, faites le chauffer pendant 5 minutes jusqu’à ce que le sucre soit complétement dissous, ajoutez le piment et les carottes émincer en fine julienne et laissez refroidir.
Servir accompagné de nems.