Boeuf aux oignons

Ingrédients :

  • 400 g de faux-filet
  • 3 gros oignons
  • 4 gousses d’ail
  • 1 petit morceau de gingembre frais
  • 12 cl de sauce soja
  • 10 cl de vin de riz ou vin blanc sec
  • 1 c. à café de sucre
  • 1 c. à café de maïzena
  • ½ c. à café de 5 épices
  • 2 c. à soupe d’huile de sésame
  • sel, poivre
  • huile

Préparation:

Éplucher et couper les oignons en quartier et mettre de côté.

Éplucher le gingembre et l’ail puis hachés les et mettre de côté.

Couper le faux-filet en lanière pas trop fine ni trop épaisse, placez la viande dans un saladier, salez, poivrez, ajouter la maïzena, l’ail et le gingembre puis mélanger le tout à la mains.

Dans un bol mélanger la sauce soja, le vin de riz, le sucre, les 5 épices puis l’huile de sésame.

Faites chauffer le wok sur feu fort ajouter 4 c. à soupe d’huile et ajouter la viande puis faite cuire pendant 5 minutes en remuant continuellement.

Transvaser la viande dans une assiette et mettre de côté.

Toujours sur feu fort, ajouter 3 c. à soupe d’huile puis ajouter les oignon et faites les revenir pendant 5 minutes, ensuite incorporez de nouveau la viande puis la sauce préalablement faites et cuire le tout 5 minutes en remuant continuellement.

Servir avec du riz blanc.

Astuces: Vous pouvez remplacer le faux-filet par du rumsteck et saupoudrer de persil ou de coriandre ciselée.

Anecdotes: Ce plat viens du Nord de la Chine, il est très apprécier par les chinois, et concernant la viande elle peut aussi être remplacer par de l’agneau.

Shabu-shabu – fondue japonaise

Ingrédients :

  • 1,5 L d’eau
  • 400 g de bœuf maigre
  • 1 botte d’épinard moutarde
  • 1 tofu bien ferme
  • 1 paquet de nouilles kuzukiri
  • 5 champignons shiitake frais
  • 2 poireaux
  • 1 feuille de kombu déshydrater

sauce aux sésame :

  • 3 c. à soupe de pâte de sésame
  • 1 c. à soupe de sucre
  • 2 ½ c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à soupe de mirin
  • 3 c. à soupe de dashi

sauce Ponzu :

  • 4 cuillères à soupe de jus de citron
  • 5 cm de feuille de kombu
  • 12 cl de sauce de soja
  • 12 cl de mirin

Préparation :

Tremper les nouilles dans de l’eau tiède, égoutter, passer sous l’eau froide et égoutter à nouveau puis couper en morceaux de 10 cm et réserver.

Dans un bol mettre le dashi puis ½ verre d’eau et bien mélanger pour que le dashi soit bien dissous et réserver.

Couper le tofu en 9 morceaux puis réserver. Retirer les pieds des shiitake qui ne sont pas comestible puis couper les shiitake en deux, enfin couper les poireaux en biais en tronçons de 2 cm.

Dans un bol mettre la pâte de sésame, le sucre, la sauce soja, le mirin puis le dashi et mélanger le tout puis réserver.

Dans une casserole mettre le mirin et porter à ébullition sur feu moyen pendant 2 à 3 minutes pour que l’alcool s’évapore et que la sauce soit plus douce et moins concentrée en alcool.

Retirer du feu puis rajouter la sauce soja, le jus de citron et la feuille de kombu puis réserver.

Mettre les sauces dans des bols individuels.

Couper en tranche très fine le morceau de viande, puis placer les entre 2 feuilles de cellophane et tapoter doucement dessus puis aplatir avec un rouleau à pâtisserie pour les rendre encore plus fine.

Mettre 5 tasse d’eau dans un caquelon puis ajouter la feuille de kombu et porter à ébullition sur feu moyen, lorsque la feuille de kombu est réhydrater retirer la.

Mettre les légumes, le tofu et les nouilles dans le caquelon, puis faites cuire votre tranche de viande en remuant de temps en temps dans le bouillon de kombu puis tremper dans la sauce aux sésame ou ponzu et déguster.

Astuces : vous pouvez très bien rajouter des oignons ou oignons nouveaux, des feuilles de chrysanthème comestibles.

Anecdotes : Le shabu-shabu est d’origine chinoise, il s’agit d’une recette Pékinoise, le shuan yang rou, utilisant des tranches fines de mouton.
En 1952, un restaurant d’Osaka, le Suehiro, importa ce plat en l’adaptant au goût des japonais. Le mouton n’est pas courant au Japon, il a donc été remplacé par le bœuf, très apprécié des japonais, surtout la viande de kobé. Trois ans plus tard, un restaurant tokyoïte, le Zakuro, se mit à servir le shabu-shabu. Rapidement ce plat devint populaire dans tout le Japon.

satay – sate – brochette de viande

Ingrédients :

  • 1 kg de viande (boeuf, poulet ou mouton)
  • 6 c. à soupe de sucre
  • 1 tasse 1/2 de cacahuètes
  • 1 tige de citronnelle
  • 1 c. à café de cumin
  • 1 c. à café de sel
  • 2 gros oignons
  • 5 gousses d’ail
  • 1 c. à café de curcuma
  • 2 c. à soupe de coriandre
  • 30 g de gingembre frais
  • 1/4 de tasse d’huile végétale
  • 1/4 de tasse d’eau
    pour la sauce :

  • 680 g de cacahuètes
  • 5 gousses d’ail
  • 2 tiges de citronnelle
  • 1/2 tasse de graines de sésame
  • 2 c. à soupe de piment rouge
  • 1 c. à soupe de pâte de crevettes
  • 2 gros oignons
  • 85 g de pate de tamarin
  • 1/2 tasse de sucre en poudre
  • 1 morceau de gingembre
  • 4 c. à café de sel
  • 6 tasses de lait de coco

Préparation :

Hacher finement  l’ail, les oignons, les cacahuètes, la citronnelle et le gingembre et réserver.

Couper la viande en cubes et mettre dans un saladier ainsi que les ingrédients finement haché. Ajouter le sel, le sucre, le cumin, le curcuma, la coriandre, l’eau puis mélanger.

Laisser mariner durant au moins 4 heures, puis embrocher la viande et faites cuire les brochettes sur un barbecue ou au four.

Pour la sauce :
Hacher les oignons, l’ail et le gingembre. Griller à sec les graines de cacahuètes dans une poêle, enlever les peaux et moudre finement.

Faire revenir la pâte de crevettes à feu moyen pendant quelques minutes. Ajouter l’oignon et l’ail dans la poêle, faire cuire les oignons jusqu’à ce qu’ils deviennent blanc.

Ajouter la citronelle, le gingembre, le piment, les cacahuètes, les graines de sésame, le lait de coco, le sucre, le sel et la pâte de tamarin et cuire jusqu’à ce que la sauce devienne épaisse.

Servir les brochettes et la sauce accompagné de légumes ou de riz.

Astuces : Il est servi accompagné de concombre émincé, de cubes de riz compacté, d’oignons crus et de la fameuse sauce satay.

Anecdotes : Suite à la colonisation de l’Indonésie par les Pays-Bas, ce plat est désormais extrêmement répandu dans les établissements de restauration rapide néerlandais, la sauce satay y est régulièrement utilisée en accompagnement de frites.

Yao Hon – fondue cambodgienne

Ingrédients :

  • 500 g de vermicelles de riz
  • 500 g de viande de bœuf
  • 200 g de crevettes
  • 200 g de boulettes de poisson ou boeuf asiatique
  • 200 g de seiches
  • 200 g de liseron d’eau
  • 100 g de champignons
  • 100 g de cacahuètes concassées
  • 1 kg d’épinard
  • 2 choux chinois
  • 3 bok choy
  • 75 g de sucre
  • 2 c. à café de sel
  • 2 c. à soupe de concentré de tamarin
  • 40 cl de crème de coco
  • 15 cl de sauce nuoc mam
  • 150 g de poudre ou pâte de saté
  • 1,5 Litre d’eau

Préparation :
Préparez les vermicelles selon le mode d’emploi indiquer sur le paquet.

Coupé la viande en fine lamelles. Décortiquez les crevettes puis faites une légère entaille sur le dos de la crevette et retirer la petite veine noir.

Coupez les boulettes de poisson ou boeuf et le bok choy en 2 puis les seiches en 4.

Coupez les champignons en lamelles et les liserons d’eau et le chou chinois en 3.

Dans une casserole mettre la crème de coco et le saté, mélangez bien pour que tout soit bien homogène, ensuite rajoutez le concentré de tamarin, le sucre, mélangez et laissez mijoter 5 minutes à feu moyen.

Ajoutez les 1,5 L d’eau, le sel, le nuoc mam et les cacahuètes concassées puis mélangez et laissez mijoter 30 minutes à feu fort.

Transvasez une certaine quantité de soupe dans le service à fondu asiatique, puis ajoutez les légumes, viande et les fruits de mer ainsi que les vermicelles de riz, laissez cuire et dégustez.

Astuces : vous pouvez utiliser des gambas à la place des crevettes et des vermicelles de soja à la place des vermicelle de riz, car elle n’ont pas besoin d’être trempées dans de l’eau avant de pouvoir êtres consommées, car vous pouvez les mettre directement dans la fondu cambodgienne.

Anecdotes : La fondue khmer est faites lors d’événements important par exemple : nouvel an, mariage, anniversaire, réunions de famille…

Riz au curry

Ingrédients :

  • 500 g de rumsteck
  • 1 oignon
  • 2 carottes
  • 3 pommes de terre
  • 1 paquet de curry japonais (150 g)
  • 600 ml d’eau
  • 1 c. à café de poudre de curry
  • 1 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel
  • 1 c. à café de poivre

Préparation :

Couper en cube les rumsteck et réserver.

Couper en morceaux d’un cm l’oignon, ensuite peler et couper les pommes de terre en morceaux d’un cm et les carotte en deux dans le sens de la longueur puis en morceaux pas trop épais pour que la cuisson soit moins longue et réserver.

Dans un bol mettre les morceaux de viande, le curry , sucre, sel et poivre puis bien mélanger à la main et réserver.

Faite chauffer une poêle légèrement huilé sur feu fort et faire pré cuire la viande en remuant de temps en temps pendant 5 minutes, puis transvaser dans une assiette et réserver.

Dans la même casserole mettre 1 c. à soupe d’huile, l’oignon et les carottes puis laisser cuire 10 minute sur feu doux à moyen pour qu’elles ne brûlent pas et remuer de temps en temps. Ensuite rajouter les morceaux de pommes de terre et verser l’eau (les légumes doivent être recouvert) puis porter à ébullition sur feu fort.

Retirer le plus d’écumes possible, puis baisser sur feu moyen, couvrir et laisser cuire 10 minutes (vérifier de temps en temps car les pommes de terre doivent être mi cuite, pour éviter qu’elles ne se cassent lorsque vous rajouterez les cubes de curry).

Couper les morceaux de cube de curry en petites tranches puis les rajouter dans la casserole et mélanger délicatement pour qu’elles fondent bien, ensuite passer sur feu fort et reporter à ébullition.

Lorsque sa bouille, passer sur feu doux puis rajouter la viande, mélanger délicatement et laisser cuire à couvert pendant 10 minutes environ (vérifier la cuisson des légumes), la sauce curry doit être épaisse.

Goûter et ajuster si vous trouver qu’il manque un peu de sel.

Retirer du feu et servir bien chaud avec du riz blanc.

Astuces : vous pouvez très bien utiliser du porc ou du poulet pour ce plat et aussi rajouter des pommes et même du miel si vous préférez un curry au goût un peu sucré.

Anecdotes : Le riz au curry est l’un des plats les plus populaires au Japon, car c’est un plat simple et rapide à préparer par rapport au autres plat japonais. On a l’habitude de le servir sous trois formes principales: le riz au curry (karéraisu), les nouilles au curry (karé udon) et le pain fourré au curry (karé-pan). Il est habituellement plus épais et à un goût plus doux et moins épicé que le curry indien.

Fondue cantonaise

Ingrédients :

  • 3 L d’eau
  • 3 cubes de bouillon de volaille ou de bœuf
  • 100 g de vermicelles de soja
  • 12 champignons noirs
  • 300 g de tofu
  • 200 g de bœuf
  • 200 g de poulet
  • 200 g d’agneau
  • 200 g de seiche
  • 200 g de filet de poisson blanc
  • 500 g de chou chinois
  • 200 g de crevettes crues
  • 1 tasse de sauce soja
  • 1 tasse de sauce d’huître
  • 1 botte de ciboule chinoise
  • huile d’arachide

Préparation :
Faites tremper les vermicelles dans de l’eau tiède pendant 20 minutes puis égoutter. Faites de même pour le champignons noirs puis couper les en tranches épaisses. Couper le tofu en cubes. Réserver le tout.

Couper la viande de bœuf, le poulet et l’agneau en fines tranches, réserver au frais.

Inciser légèrement la seiche en croisillon puis couper en deux. Couper le poisson en petit cube de 3×3 cm environ, puis réserver le tout au frais.

Décortiquer les crevettes en laissant la queue, puis faites une légère entaille sur le dos de la crevette et retirer la veine noir.

Émincer le chou chinois en fine tranche et ciselé la ciboule chinoise.

Faites chauffer l’eau à feu fort et rajouter les cubes de bouillon de volaille ou de bœuf et porter à ébullition.

Dans un casserole mettre la sauce soja puis 1 c. à soupe d’huile d’arachide, émulsionner puis incorporer la ciboule hachée et retirer du feu. Faites de même pour la sauce d’huître sauf que vous n’incorporer pas de ciboule hachée.
Transvaser 1 Litre du bouillon dans le caquelon que vous mettez sur feu moyen puis disposer les différentes assiettes contenant les vermicelles, les légumes, les viandes et les fruits de mer autour ainsi que les sauce que vous mettrez dans des bols individuels.

Servir les vermicelles dans un bol puis accompagnées les des différents mets que vous tremperez dans le bouillon frémissant et que vous plongerez dans l’une des sauces.

Astuces : si vous tranchez la viande vous-même, il faut qu’elle soit partiellement congelée pour obtenir la finesse nécessaire. Vous n’êtes pas obligé d’utiliser les 3 sortes de viandes.

Anecdotes : La fondue chinoise consiste en un bouillon placé au centre de la table, dans lequel les convives sont invités à faire cuire eux-mêmes leurs ingrédients, placés dans une petite épuisette ou tenus avec des baguette.
Les mets souvent utilisés dans les fondues chinoise sont : le poisson, crustacés ou autres coquillages, viandes en tranches très fines (blanche de préférence, voire du mouton est également utilisé), boulette de poisson ou de viande, calamar ou seiche coupée en petits morceaux, légumes (chou chinois, épinards, ciboules, champignons noirs, carottes, etc..). Pâtes chinoises de préférence des vermicelles de farine de haricot mungo. Tofu (pâte de soja fermenté) sous différentes formes. Petits raviolis variés ou aliments à base de pâte de poisson, comme le surimi spéciale fondue vendus dans les supermarchés asiatiques.

Shuan yang rou – fondue Mongole

Ingrédients :

  • 200 g de gigot d’agneau
  • 200 g de rumsteck
  • 200 g de filet de poulet
  • 200 g de crevettes roses
  • 100 g de coquille Saint-Jacques
  • 100 g de vermicelles chinois
  • 400 g de champignons noirs frais
  • 100 g d’épinards
  • 200 g tofu
  • 1 laitue
  • 1 chou chinois
  • 2 L d’eau
  • 2 cubes de bouillon de volaille
  • 4 c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à café de vinaigre de riz
  • 1 c. à café de saké
  • 1 c. à café de gingembre frais
  • 1 c. à café d’huile de sésame
  • 2 c. à café de graine de sésame
  • 1 c. à café de sucre
  • 1 c. à café de sel
  • 1 c. à café de poivre

Sauce à l’œuf :

  • 3 œuf
  • 3 c. à soupe de bouillon de volaille
  • 2 c. à café de vinaigre
  • 2 c. à café de graines de sésame

Sauce pimentée :

  • 2 c. à soupe de purée de piment
  • 2 c. à soupe de bouillon de volaille
  • 2 c. à café de gingembre hachée
  • 2 gousse d’ail

Préparation :

Couper les viandes en fines tranches. Décortiquer les crevettes puis retirer la veine noir en faisant une légère entaille sur le dos de la crevettes. Laver et nettoyer les Saint-Jacques en conservant la noix et le corail et réserver au frais

Couper les feuilles de laitue et de chou chinois en morceaux de 5 cm environ. Couper les champignons en tranches épaisses et le tofu en morceaux puis réserver.

Faites tremper les vermicelles dans de l’eau tiède pendant 20 minutes, puis égoutter et réserver.

Faites chauffer l’eau dans une casserole à feu fort, rajouter les cubes de bouillon, la sauce soja, le vinaigre de riz, le saké, le gingembre, l’huile de sésame, les graines de sésame, le sucre, le sel et le poivre puis porter à ébullition.

Dans un bol casser les œufs ajouter le vinaigre et les graines de sésame bien mélanger puis rajouter le bouillon et réserver.

Dans un autre bol mettre la purée de piment, le gingembre et l’ail bien mélanger puis rajouter le bouillon et réserver.

Transvaser le bouillon dans un caquelon chauffer sur feu moyen afin de garder le bouillon frémissant.

Disposer tous les ingrédients, viandes, vermicelles, légumes, fruits de mer et les sauces, autour du caquelon.

Servir.

Anecdotes : La fondue mongole nommé « shuan yang rou » (shuan signifie mijoter et yang rou signifie viande de mouton) est une des fondues chinoises. C’est une fondue servie en Chine du Nord et très populaire à Pékin. Comme son nom l’indique, elle contient essentiellement du mouton.
La Fondue Mongole, aussi appelé « marmite mongole » est un plat chinois importé de Mongolie, puis modifié. Il date de 1 000 ans et fut renommé sous les Quing, alors qu’il était très apprécié par la cour impériale. La fondue mongole traditionnelle utilise une espèce de mouton originaire d’Ujumgin en Mongolie intérieur. Seuls certaines parties (gigot, filet) conviennent pour la marmite mongole.
Ensuite les chinois ont ajouté des produits marins à la fondue et ont utilisé du bœuf.

Fondue thaïlandaise

Ingrédients :

  • 2 L d’eau
  • 2 cubes de bouillon de bœuf
  • 2 c. à soupe de riz gluant cru
  • 1 c. à soupe de sauce nuoc mam
  • 1 c. à soupe de sauce soja
  • 1 c. à soupe de purée de piment
  • 1 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel
  • 250 g de vermicelles
  • 250 g de bœuf
  • 250 g porc
  • 250 g de foie de veau
  • 250 g de chou chinois
  • 250 g de haricots verts
  • 3 cm de galanga
  • 3 feuilles de kaffir
  • 15 oignons nouveaux
  • 2 échalotes
  • 2 gousses d’ail
  • 2 blancs de tiges de citronnelle
  • 1 bouquet de basilic
  • 1 bouquet de coriandre

Préparation :
Éplucher et hacher les échalotes, l’ail et les blancs de citronnelle, mettre les trois aromates dans un bol et réserver.

Peler et hacher le galanga, couper en 4 les feuilles de kaffir et réserver.

Couper en morceaux de 5 cm les feuilles de chou chinois ainsi que les oignons nouveaux puis ciselé grossièrement la coriandre et réserver.

Couper en fines tranches la viande de bœuf, porc et foie de veau et réserver au frais.

Dans une poêle faites revenir le riz gluant cru à feu fort en remuant de temps en temps jusqu’à qu’ils deviennent brun foncé, puis broyer le riz gluant à l’aide d’un mixeur et réserver.

Dans une casserole faites chauffer l’eau à feu fort puis ajouter les cubes de bouillon de bœuf, rajouter le nuoc mam, la sauce soja, le sucre, le sel puis le riz gluant broyé et mélanger le tout.

Ajouter la racine de galanga, les feuilles de kaffir dans le bouillon puis porter à ébullition.

Transvaser le bouillon dans le caquelon que vous mettez sur feu moyen afin de maintenir le bouillon frémissant.

Disposer les assiettes contenant les vermicelles de riz, les viandes, le chou, le basilic, la coriandre, les oignons nouveaux puis le bol contenant les trois aromates autour du caquelon.

Tremper les morceaux de viandes et légumes au choix dans le bouillon, puis dans le bol contenant l’ail, l’échalote et la citronnelle ou bien dans la sauce piments.

Servir accompagnée d’une sauce au piment ou sauce soja foncé .

Astuces : vous pouvez remplacer le porc par du poulet et le foie de veau par le cœur de veau.

Lau bo – fondue vietnamienne

Ingrédients :

  • 20 cl d’eau
  • 20 cl de vinaigre de riz
  • 600 g Filet de bœuf
  • 200 g de crevettes décortiqués
  • 150 g de champignons shiitake
  • 150 g de pousses de soja
  • 1 paquet de galettes de riz
  • 1 paquet de vermicelle de riz
  • 1 boîte de lait de coco
  • 2 carottes
  • 1 boîte d’ananas
  • 2 oignons
  • 1 citron vert
  • 1 laitue
  • 10 g de ciboule chinoise
  • 10 g de persil
  • 3 c. à soupe de sucre
  • 1 c. à café de sel

Préparation :

Trempez les nouilles 15 minutes dans de l’eau froide, puis égoutter et réserver. Couper en 4 morceaux les galettes de riz.
Couper la viande en fines tranches. Faites une légère entaille sur le dos de la crevette puis retirer la veine noir et réserver.
Peler les carottes et les couper en bâtonnet, ciselé le persil, couper les champignons et l’oignon en lamelles, puis en lanière de 5 cm la ciboule chinoise et les feuille de laitue en lanière de 10 cm.

Mettre les lamelles d’oignon par dessus les crevettes, le bœuf, pour parfumer ces ingrédients. Le reste d’oignon va être servi pour le bouillon.

Faire bouillir de l’eau dans une casserole, puis mettre les vermicelles à cuire pendant 2 minutes, égoutter. Disposer les vermicelles dans une assiette.

Dans une marmite à fondue, mélanger le vinaigre de riz, le sucre, le sel, le jus de coco, l’eau et le reste de l’oignon.
Goûter et ajuster en sel, sucre ou vinaigre, sachant que le bouillon doit être légèrement acide, et un peu salé. Si vous trouvez que le goût du vinaigre est trop fort, ajouter un peu d’eau.
Égoutter puis couper l’ananas en petit morceaux puis hacher grossièrement

Verser le contenu du Mam Nem dans un bol, mettre l’ananas hacher dans la sauce, rajouter le jus de citron puis mélanger. Ajuster selon vos goût.

Mettre au milieu de la table la marmite à fondu et les assiettes contenant les légumes, les crevettes, la viande et les vermicelles (la marmite à fondue doit être chauffé à feu moyen pendant le repas), également un bol d’eau chaude pour tremper les galettes de riz.

Servir dans un bol individuel la sauce mam nem et utiliser une assiette pour rouler la galette de riz.

Mettre les ingrédients que vous désirez dans la marmite à fondu et laisser cuire 5 minutes pour les crevettes, champignons et carottes mais pour la viande de bœuf, la ciboule chinoise et le vermicelle il faut seulement quelques secondes.

Prendre une galette, tremper dans le bol d’eau chaude pour la réhydrater, ensuite poser sur l’assiette, mettre un peu de vermicelles, une feuille de salade, légumes et les morceaux de viande cuites dessus.

Enrouler la galette en prenant soin de ne pas la déchirer et déguster avec la sauce mam nem.

Astuces : vous pouvez remplacer la sauce mam nem qui à un goût assez fort par la sauce nuoc mam avec un peu de gingembre frais haché. Pour les légumes vous pouvez mettre du chou chinois, du céleris, des tomates ou bien du chou fleur selon vos préférence.
Les vietnamiens gardent ce reste de bouillon pour en manger en soupe avec des vermicelles de riz, ou nouilles chinoises ou nouilles instantanées.

Sukiyaki – fondue japonaise

Ingrédients :

  • 10 cl de saké
  • 10 cl d’eau
  • 12 cl de mirin
  • 12 cl de sauce de soja
  • 4 c. à soupe de sucre
  • 300 g de bœuf
  • 300 g de nouilles Ito Konnyaku (shirataki)
  • 2 poireaux
  • 3 œufs
  • ½ chou chinois
  • 4 champignons shiitake frais
  • 100 g de Champignons enokitake
  • 1 tofu bien ferme

Préparation :

Couper les nouilles en morceau de 10 cm environ, les faire cuire dans de l’eau jusqu’à ébullition. Égoutter et les passer sous l’eau froide puis bien les égoutter à nouveau et réserver.

Couper le bœuf en fine tranche (comme les tranches de jambon), puis en morceaux de 5 cm.

Laver, égoutter les champignon enokitake et réserver. Casser chaque œufs dans un bol individuel battre et réserver.

Couper le chou chinois en 3 morceau assez grossièrement. Couper en biais des tronçons de 2 cm de poireaux puis le tofu en tranches épaisses de 2 cm ainsi que les shiitake sans oublier de retirer le pied qui ne se mange pas.

Dans une casserole mettre l’eau, la sauce soja, le saké, le mirin et 2 c. à soupe de sucre puis mélanger jusqu’à ce que le sucre soit bien dissous et porter à ébullition puis réserver.

Dans un caquelon sur feu moyen mettre 1 c. à soupe d’huile, la viande puis 2 c. à soupe de sucre remuer puis verser la sauce, rajouter les tofu, les shiitake, les enokitake, l’oignon vert puis les nouilles et laisser porter à ébullition et c’est prêt.

Le sukiyaki se mange comme ceci : vous prenez les légumes et la viande qui sont dans le caquelon, puis vous les tremper dans l’œuf cru et il n’y a plus qu’à déguster.

Astuces : La viande est composée de très fines tranches de bœuf d’environ 2 mm. De nombreux autres ingrédients peuvent être ajoutés comme du shingiku (feuilles de chrysanthème comestible), des oignons, du chou chinois ou du tofu grillé.

Anecdotes : Le sukiyaki est un plat japonais, parfois appelé « fondue japonaise ». C’est une sorte de fondu (ou ragoût), proche du shabu-shabu, dans lequel on trempe du bœuf et des légumes crus dans une sauce warishita.

Jakah Sach ko – brochette de bœuf

Ingrédients :

  • 400 g de viande bœuf
  • 1 tige de citronnelle
  • 3 gousse d’ail
  • 1/2 gingembre
  • 5 c. à soupe de sauce d’huître
  • 1 c. à café de sel
  • 4 c. à soupe de sauce nuoc mam
  • 5 c. à soupe de sucre
  • 5 c. à soupe de sauce soja
  • brochettes en bois

Préparation :
Coupez la viande en fines lamelles et réserver. Haché l’ail, le gingembre et la citronnelle puis mixer les jusqu’à obtention d’une purée bien homogène.

Mettre dans un bol le sucre, la sauce soja, le sel, la sauce nuoc mam, la sauce d’huître, la purée de citronnelle et la viande puis mélanger, couvrir de papier cellophane et laisser mariné 1 heure au frais.

Embrocher les morceaux de viande puis les faire cuire au barbecue ou sur le grill pendant 10 minutes de chaque côté.

Servir avec du riz.

Astuces : Le Jakah Sach ko se mangent nature ou accompagné d’une salade de mangue, papaye, ou carotte ou de riz blanc ou bien en sandwich.

Anecdotes : Au Cambodge on achète les Jakah Sach ko dans les petits échoppes ou au marchand ambulant et on les déguste avec les amis ou la famille.

Lok lak – bœuf et sauce au citron

Ingrédients :

  • 400 g de viande de bœuf
  • 3 tomates
  • 1 salade
  • 1 oignon
  • 1 citron
  • 1 gousse d’ail
  • 1 1/2 c. à soupe de sucre
  • 2 c. à soupe de sauce nuoc mam
  • 2 c. à soupe de sauce soja
  • 2 c. à soupe de sauce d’huître
  • 1 c. à soupe rase de farine de tapioca
  • ½ verre d’eau
  • sel, poivre

Préparation :
Mettre les feuilles de salade sur un plat, coupez les tomates en rondelles ainsi que l’oignon puis disposez-les tomates puis l’oignon sur les feuilles de salades.

Coupez la viande en fines tranches ou en petit dés selon vos préférences puis émincez l’ail.

Faite chauffer de l’huile dans un wok et faire revenir l’ail, ajoutez la viande puis 1 c. à soupe de sucre, le poivre, le nuoc mam, la sauce soja et la sauce d’huître. Mélangez assez rapidement pour garder la viande encore un peu saignante.

Dans un bol mettre la farine de tapioca puis ajoutez le ½ verre d’eau, bien mélanger pour que la farine de tapioca soit bien dissoute et versez-le sur la viande, puis mélangez le tout
jusqu’à que la sauce devienne un peu épaisse.

Rectifiez l’assaisonnement puis versez la viande sur l’oignon émincé.

Pour la sauce mettre dans un bol le jus d’un citron puis 2 c. à café de sel, 1 c. à café de sucre et 1 c. à café de poivre puis mélangez le tout.

Servir avec du riz blanc.

Astuces : vous pouvez servir le lok lak avec un œuf au plat et la sauce n’est pas obligatoire pour ce plat, car certaines personnes préfèrent sans.